blog de David Souclier, professeur de français au collège Les 3 vallées
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Enfants dans un camps de concentrations
RépondreSupprimerIls criaient mais personne ne les aidait
Ils mouraient mais personne n'avait pitié d'eux
Regardez donc tout ces petits corps mutilés,
C'est leur tendre enfance qu'on leur a volé.
Jamais on ne les avait préparé à souffrir
Arrivés dans le camps ils se demandaient ce que deviendrait leur avenir,
Ils avaient faim, ils pleuraient, et personne ne savait encore combien de temps ils allaient tenir.
Leur vie était un calvaire continuel, et la mort les rongeait peu à peu,
Elle même n'avait pas honte de ce qu'on leur infligeait.
Ces anges vivaient l'Enfer,
On leur a ruiné leur vie, mais personne n'a rien dit.
Soi-disant ils l'avaient mérité,
Apparemment ils étaient nés pour crever, alors ils sont morts, la main sur le coeur et une larme dans le coin de l'oeil.
Lou DARCISSAC
La prostitution des enfants
RépondreSupprimerRegarde ces enfants qui marchent, là
Ils sont seuls et personne ne les protège
Les yeux pleins de souffrance
Le cœur à l'envers
Le corps vivant, l'âme inanimée
Ils souffrent, et personne ne les voit
Ils crèvent en silence, ils traînent les pieds
Et sont pervertis par les plus âgés
Ils partent avec eux et reviennent plus tard
Comme des chats égarés
L'âme, le corps, le cœur écorchés
Mais des billets glissés dans leurs poches trouées
Ces enfants donnent leur vertu
Pour sauver leur famille
Mais portent à jamais
Une marque noire dans leur chair
Qui les a poussé à en arriver là ?
Qui a osé leur prendre leur innocence ?
Toi qui est allé le voir
Tu lui as transmis ton mal
Il mourra peut être à cause de toi
Et à ce moment là regretteras tu
D'avoir perpétué cette immondice ?
Le corps à jamais souillé
La rancœur brûlera leurs poumons
Ces enfants là un jour,
Se vengeront
De cette société qui les a forcé à vendre leur corps
Car un enfant n'oublie jamais
Le mal qu'un grand lui a infligé.
LECONTE Marianne
Contre la guerre
RépondreSupprimerPierre est mort aujourd'hui
Un obus a eu raison de lui
Depuis une éternité il vivait comme un animal
Survivre, manger, ramper et faire du mal
Marcel est tombé aujourd'hui
Emmenant sa mère avec lui
La tristesse, douloureuse tueuse
Mariée à la guerre et pas moins vicieuse
Francois a sacrifié sa vie aujourd'hui,
Pour des hommes qui valent bien moins que lui
Bien au chaud, loin du champ de bataille
Ils jouent avec des vies comme si c'était simple bétail
La guerre est une machine qui tue
Qui broie, mâche, détruit brûle
Et rend le plus saint des hommes
Une bête infernale dévouée à une cause qui n'est pas sienne
Je préfère de loin m'enfuir que d'aller à la guerre
Je péfère de loin vivre que d'aller donner ma chair
Que de servir la mort le desepoir et la haine
Que de ramper pour survivre et de servir une cause qui n'est pas mienne
CHIFFLET Léo
félicitations à ces jeunes gens "engagés". impressionnant autant par la portée de leur réflexion que par leur qualité d'écriture!
RépondreSupprimermais oui très cher c'est clair. On ressens de part le qualité d'écriture une personnalité qui leurs est propre.
Supprimerbande de boloss
Supprimerc cool bravo les mecs
SupprimerJe vous félicite sauf Léo
RépondreSupprimerTanguy t'es grillé
RépondreSupprimerArrêtes tes conneries Matthieu
RépondreSupprimerLa Biffle
RépondreSupprimerAsmalala les petits oiseaux qui font cuicui évidemment
RépondreSupprimerWhen I see Yolande, I bande, I bande.
RépondreSupprimerWhen I see Anais, I bande aussis.
cctvvmb ?
RépondreSupprimermaouicéclaire !!!!
RépondreSupprimerwsh
RépondreSupprimerBRUH ! Mais oui c'est clair c'est bien !
RépondreSupprimervous etes tous des tocard
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