blog de David Souclier, professeur de français au collège Les 3 vallées

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vendredi 20 septembre 2013

3ème4 et 3ème6 : poème engagé en vers libres

Veuillez postez ici vos poèmes (sous la forme d'un commentaire " anonyme " qui permet d'éviter la connexion avec un identifiant).
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48 commentaires:

  1. Putain de maladie
    Putain de maladie, celle qui nous prend nos proches et nos amis
    Tu es comme la guerre, tu fais tellement de victimes
    Tellement de chagrins auprès des familles
    Trop de souffrance endurée par tes victimes
    Tu fais tant de croix dans les champs
    Tu es un monstre enfermé dans un corps innocents
    Quand tu lui mets un coup de griffe, tu lui enlève la vie
    Trop de bonheur devenu malheur par ta faute
    Tu es sévère, amère et tu t'appelle cancer

    ROMETTINO Jessy 3°6

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  2. Tandis que les noirs sont pris pour des esclaves
    Tandis que les blancs travaillent dans des sociétés
    L'Afrique est prise comme un fleuve de force
    Pendant que les blancs se reposent dans leur bureaux
    Eux ils ne peuvent pas rentrer en boîte de nuit
    Eux oui !
    Eux ils ont du mal a trouver du travail
    Eux non !
    Parce qu'ils sont de couleur
    Si on se met tous au soleil on a tous la même couleur.

    Maisonneuve Arnaud 3°6

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    1. Je tiens a vous félicitez vous avez tous fait du bon travail. Encore bravo !

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  3. Comment des parents peuvent-ils maltraiter leurs enfants ?
    Un enfant n'ayant rien demandé
    L'être qu'ils ont mis au monde
    L'être qui porte leur propre sang
    Cette personne qui leur ressemble tant qui se fait
    Frapper, enfermer, exploiter comme un moins que rien
    Parents au cœur de pierre, ces êtres puissants les rendant
    Misérables, qui se servent de leur pouvoir à outrance
    Ces petites innocents au milieu de cette détresse gardant
    Espoir, rêvant de pouvoir sortir du
    Néant ; enfants qui garderont l'image de cet horrible passé
    Rêvant d'un peu de lumière pour éclairer leur misère

    SUCHET Maurane 3°6

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  4. D'une minute à l'autre elle arrive
    Celle qui arrache chaque jour
    Plus d'hommes à leurs familles,
    Des milliers de soldats, tels des fourmies,
    S'emboitent le pas dans le seul but
    De gagner un peu plus de territoire
    Chaque minutes paraît une éternité
    Chaque seconde la mort peut surprendre
    Triste joie, tous ces hommes
    Qui ont laissés âmes et corps
    Pour le bien de leur pays.

    ESTEVENON Charline 3°6

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  5. Tu est pire qu'un monstre
    Tu est pire que la guerre est l'enfer
    Tu détruis plusieurs vies
    Je te vois comme un ennemi
    Sa vie était un paradis avant tu la transformes en enfer
    Tu remplaces le bonheur par la douleur
    Je te détèste ,
    Depuis que tu t'en es pris à mon grand-père
    Pourquoi t'en prends tu toujours aux innocents ?

    MOUCHOUX Clémentine 3°6

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  6. Ce fut une bien belle journée
    Ce fut également un jour où la guerre a tout emporté
    Tant de bien parts en un battement de paupières
    Du temps que perle une larme aux joues de ma grand-mère
    Les dés étant jetés, il fallait fuir
    Vers un destin inconnu où tout était à reconstruire
    Monstre infâme qu'est cette guerre
    Toujours moins cruelle que ses pères
    Qui détruisent tout sur leur passage

    BRUNET Andréa 3°6

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  7. Ce fut une bien belle journée
    Ce fut également le jour où la guerre a tout emporté
    Tant de bien partis en un battement de paupières
    Du temps que perle une larme aux joues de ma grand-mère
    Les dés étant jetés il fallait fuir
    Vers un destin inconnu où tout était à reconstruire
    Monstre infâme qu'est cette guerre
    Toujours moins cruelle que ses pères
    Qui détruisent tout sur leur passage
    Jusqu'aux sourires des enfants du village

    BRUNET Andréa 3°6
    (j'ai oublié une phrase la première fois)

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  8. LA FAIM DANS LE MONDE




    Alors que des petit africains meurent de faim
    D'autres petit américains meurent obèses.
    Il s'en va le matin s'épuiser dean les champs
    Il s'én va le matin un paquet de chocolat a la main
    Il revient pour manger un bol de racines
    lui revient pour gouter puis manger un repas a moitié jeté
    L'un dort paisiblement la panse bien pleine dans un lit douillait
    L'autre dors comme si son lit de paille étais sur les cailloux la panse bien vide.

    SAMUEL GAUTHIER 3°6

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  9. Favoritisme familial

    Je le vois tous les jours
    Je le vois être aimer
    Et moi oublié
    Il a le bonheur
    Et moi le désespoir
    Les regards sont mes seuls espoirs
    Une parole c'est comme le paradis
    J'attends la reconnaissance

    POUSSEREAU Adrien 3°6

    Avoir le stresse tout les matins
    Le stresse de ne pas plaire à tout le monde
    Le stresse de se faire attendre à la sortie
    De se faire voler ses nouvelles affaires

    Les moqueries,les insultes,
    C'est comme si vous étiez un objet que les gens
    prennent pour se défouler
    Ils sont innocents ne demandent rien à personne
    Ils pensaient avoir trouvé la paix
    Mais ils sont tombés en enfer .

    LE GUILLERMIC lOONA 3°6

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  10. Mort Subite

    Il ne fait pas beau,
    Mais la lumière du soir apparaît déjà,
    On pourra distinguer au loin, de long fossés,
    On les appelleras tranchées,
    Au sol, des centaines de milliers d'obus,
    Au dessus du soldat sa crépite,
    La peur au ventre il fait le meilleur possible,
    Pour battre l'angoisse qui le tient,
    Il tire mais un soldat allemand plus rapide que lui, tire
    L'obus viendras se briser sur son crâne.

    OLLIVIER Joélys 3°6

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  11. Cette maman a 17 ans (...)
    Comment une mère pourrais t-elle perdre son enfant
    Comment une mère qui a peur de son bébé
    Va t-elle donner la vie ou la mort de son être
    Va t-elle avoir l'accort de son entourage
    Peut être prendre sa décision seule ...
    Va t-elle continuer sa vie librement ou
    Assurer ses responsabilité de maman
    Enfin de compte la maman la gardée
    Et ... maintenant elle l'a une vie meilleure .

    THEVARD Camille 3°6

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  12. Cette fille a vingt ans, elle attend un enfant.
    Cette grossesse lui fait peur.
    Car sa vie n’est pas comme celle de ses amies.
    Choisir la vie, choisir la mort
    Pourra-t-elle décider seule.
    La peur l’envahit, autant qu’elle en parle a sa mère.
    Ce bébé, cet humain, verra-t-il le jour.
    Contre l’avis de tout son entourage.
    Elle est si jeune aux yeux de ses parents,
    Mais tous les jeunes on aussi des responsabilités…

    LLADO Lauryne 3°6

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  13. Un beau matin de septembre
    Vers neuf heures le ciel devient tout noir.
    New York voyait deux grandes cheminées fumées à plein régime.
    D'un noir plus noir que du charbon.
    Tel un château de cartes, les cheminées tombaient.
    A la vitesse de la foudre.
    Pleins de cendres voltigeaient, volcan de béton...
    Cette coulée de lave était cruelle.
    Les habitants étaient pétrifiés.

    PINCHENET Hugo 3°6


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  14. Le cancer

    Il est gravement malade
    Seul son entourage est au courant
    Ils font comme si tout allez bien mais au fond eux ils savent
    L'espoir de vivre alors que tu es condamné a mort
    L'espor de guerir comme si tout allez redevenir comme avant


    Peu à peu ton futur s'obscurcit
    Ton visage est asonbrit par la maladie
    Te te retournes vers Dieu alors qu'il y a bien longtemps que tu la délaissé
    Mais dis toi une chose, nous somme tous avec toi pour t'aider a l'affronter.

    SERPEGINI Luca 3°6

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  15. Ce petit ange si triste et si pale,
    Gardait pour lui la violence de cet animal,
    Chaque fois qu'il voyait des enfants passer il souriait et,
    Chaque fois qu'ils repartaient il se mettait a pleurer,
    On pouvait prendre cela pour des erafflures,
    Mais derrière ce silence il endurait une vraie torture.
    Il était comme un pauvre chien abandonné,
    alors que c'était un enfant seul et maltraité.

    La maltraitance infantile,
    C'est priver ce jeune etre de son enfance.

    POUTOUS Camille 3°6

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  16. Avortement

    Quand une personne avorte
    Quand une personne arrache
    le vivant. Elle donne la vie pour
    tuer. Avortement, éventreur sans pitier
    Ne plus vouloir un enfant et semblable à
    le tuer pour un rien
    Et si l'enfant meurt avant d’être
    né. Que vont devenir tous ces souvenirs,
    tous ces moments d'enfance
    Passé auprès de leur mère.

    BRUNEL Coline 3°6

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  17. Les armes
    Objet du diable
    Objet fait pour tuer
    De couleur différente mais toujours puissante
    Ses balles tuent des innocents et des adolescents
    Peut servir à faire le bien comme le mal
    Peut tuer comme blesser
    Objet chaud comme le Styx qui peut tous régler
    Objet démoniaque qui peut tous casser
    Homme fou qui tire sans raison
    Homme qui tue sans raison
    Qui ne se rend pas compte que l'enfant grandira Sans parents
    Erreur humaine qui a permis ta création
    Erreur humaine qui créer les acharnés
    Objet qui détruit des familles
    Objet qui appelle la mort

    MARQUES justin

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  18. Des armes puissantes comme des obus, faisant souffrir des enfants sans défense;
    des femmes au cœur remplit de désespoir;
    des hommes, impuissants, qui ont peur de mourir.

    Hélas, la guerre fait des ravages;
    La guerre fait rougir l’humanité de honte;
    La guerre fait s’effondrer en larmes le monde entier;
    La guerre n’est pas finie;
    La guerre est infinie.
    le monde à vécus un chaos pendant 9 ans sans blâmer ni répondre présent pourtant le cœur des hommes était anéanti.

    Gomes Bastien 3°4

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  19. terrorisme

    Quand on pense a tous c'est homme détruit
    Quand on pense a toute c'est choses détruite
    Mais qui sont c'est homme qui agisse comme des monstres
    Mais qui sont c'est fou qui ce prenne pour dieu
    Mais qui nous sauvera de ces tirans qui font trembler la terre
    Ce sont des bêtes qui traque leur proies sans même savoir
    pourquoi La terre serait tellement plus belle sans ces bombes qui explose
    on ne c'est pourquoi
    Toute c'est vie détruite par de pauvres fou qui ne comprenne
    rien a rien
    Jusqu'a voir des lac de larmes pleuraient par les proches
    Que c'est pauvres fou ce fasse explosaient eux mêmes

    Rocher kevin 3°4

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  20. L'amour Triste

    Des paroles de douceurs
    Des regards échangées
    Des étoiles dans les yeux
    Main dans la main
    Des rêves plein le cœur
    Aimer et oublie
    Juste la magie de l'amour
    Une belle vie pour toujours

    Combe Joan 3°4

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  21. Cette fille est gravement malade
    Elle est atteinte de plusieurs maladies
    La souffrance elle n’en peut plus
    Les regards sur elle non plus
    Tous les matins elle se lève en se demandant si tout ira bien
    Tous les jours elle se demande si tout peut redevenir comme avant
    Hélas ce n’est pas possible
    C’était le paradis mais c’est devenu l’enfer
    Son entourage sera la quand tout ira au plus bas
    Pour la soutenir dans son combat

    HOARAU Cynthia 3°4

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  22. Le faim dans le monde

    Toutes ces personnes qui n’ont rien à manger.
    Toutes ces personnes qui doivent aller au resto du cœur pour s’alimenter.
    Ces pauvres retraités qui sont obligés de mendier.
    Les jeunes sont comme les vieux, en difficulté financière !
    Dans notre société, les uns on tout, les autres rien.
    Les uns crèvent d’indigestion, les autres meurent de faim.
    La nourriture faut partager.
    Pour personne elle ne doit manquer.
    Oui, la famine est un vrai crime.
    Et elle fait tellement de victimes.
    FRAYSSE Melvin 3°4

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    1. bonjour je trouve ton poème vraiment touchant je dois écrire un poème sur une injustice et j'ai choisit la faim dans le monde . je dois dire que ton poème m'inspire beaucoup

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  23. Le viol

    Le regard vide, elle n’ose pas en parler.
    Le violeur lui a tout pris son âme, sa joie , sa vie .
    Avant elle rayonnait maintenant elle s’éteint .
    Cette femme est hanté par ce qui c’est passé .
    Cette nuit elle ne l’oubliera jamais .
    Son époux la voie sombrer .
    Toute les nuits il l’entend sangloter.
    Sans comprendre se qu’il c’est passé.
    Elle n’en peut plus elle va craquer.
    Seulement se regarder le fait pleurer.
    Elle préfère prendre un pistolet, plutôt que de tout raconter.
    Le violeur est comme un homme sans visage.
    Et la nuit prochaine il va recommencer.

    Juston Cassandre 3°4

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  24. Trop de gens malades, qui meurent trop vite
    Trop de personnes qui se moquent d'eux
    Personnes âgées ou jeunes, hommes ou femmes
    Ils se battent tous pour la même cause la maladie
    Cette foutue maladie qui vous pourrie la vie
    Et qui vous cloue au lit !
    Malgré le mal certaines personnes ne se dévoilent pas
    Mais au fond d'eux le vide et si grand comme le néant
    Certains s'en sortent, d'autres pas.
    Mais quoi qu'il en soit le cancer on ne le choisit pas.


    CHANAS Laura 3°4

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  25. Tant de morts dans les guerres
    Tant de civils qui meurent
    Que la vie serait bien sans ses guerres
    La terre serait comme un paradis sans ses guerres
    Tous ces innocents qui se battent pour leur pays
    Qui essaye d obtenir leur indépendance
    C'est innocents qui bagne dans la guerre
    Mais il y a beaucoups de souffrance chez les proches
    Pendant les guerres il y a des flaques de sangs
    La guerre se finit avec beaucouos de morts et beaucoups de pleurent

    MORFIN Clement 3°4

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  26. Triste réalité



    Les enfants sous le soleil n’ont rien a manger
    Ils vivent sous une chaleur torride
    La terre est craquelée un peu comme de la peau sèche
    Triste réalité
    Les autres s’en moquent et mangent s’en se douter
    Que ; la quelle que part un enfant n’a rien à manger
    Frites, Omar, hamburger tout cela le dépasse
    Il n’en sait quoi pensé
    Loing des 3 repas par jours
    Aujourd’hui il n’est pas sur qu’il va à manger
    Les pauvres sous qu’il vient de gagner
    Ne serviront pas s’acheter a manger mais vont passer dans les frais à payer
    Ironie du sort ou simple réalité
    Enfants en détresse
    Enfants maigres ou obèses ne faut t-il pas s’indigner

    BLACHER Victor 3°4

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  27. La famine est vrai crime
    Elle fait tant de victimes
    Ses pauvres enfants qui n'ont plus rien
    Même pas de l’eau
    Même pas du pain
    Toutes ces personnes bien aisées
    Pourraient si elles le voulaient
    Sauver ses pauvres infortunés
    Notre société pourrait ainsi sauver
    Ses pauvres enfants abandonnés
    Comme des vielles affaires dans un grenier
    Qu’attendons-nous pour partager
    C’est peu de choses sa peut sauver

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  28. Hommes et Animaux
    Tandis que les animaux perdent leurs peaux
    Les hommes gagnent pour faire de la décoration
    Tandis que les hommes obtiennent de la viande.
    Les animaux meurent avec une grande souffrance.
    Les animaux sont des êtres vivants comme les autres
    Les hommes ont besoins de manger pour survivre
    Chaque espèce d’animaux disparaît de plus en plus
    Chaque animal vit en groupes
    Les animaux sont omnivores, carnivores ou végétariens
    Chaque animal a leurs environnements


    Lamotte maxime : 3ème 4

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  29. Le Racket



    Réveil, Angoisse, Déjeuner, Angoisse, Bus ,Angoisse


    La peur à longueur de journée doit être usante
    Personne ne voit, personne ne comprend
    Personne pour t’aider quand tu es en mauvaise situation

    Pendant que lui se détend et qu’il se dit qu’il va avoir tout ce qu’il m’a demande, moi je m’angoisse chaque minutes avant de le rencontrer
    Chaque jour ca recommence, a tout moment je me dis : « c’est peut être mon dernier instant de vie »
    Ou alors « c’est les dernières choses qu’il me demande »


    Mais un jour je vais arriver a refuser de lui donner ce qu’il veux
    Cette petite rébellion a fahit me couter ma vie
    Ce garçon est comme les pies il est attire par l’or et par tout ce qui brille
    Finalement je trouve le courage d’aller en parler


    Fanny MOTTE 3°4

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  30. Les préjugés sur la chasse


    Regardez toutes ces belles forêts
    Qui d'après les médias
    Sont de jour en jour dépeuplés
    Par de soi disant ignorants
    N'oubliez pas que la chasse sauvegarde beaucoup d'espèces
    Semblable à des truands
    Ce ne sont que des bienfaiteurs
    Ce sont avec leur coeur
    Qu'il tire pour protéger
    Alors que vous vous en méfiez.



    Enzo GUILBERT 3°4

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  31. Les enfants maltraités


    Tristes et malheureux
    Tristes enfants
    Enfants étouffés par leur malheur
    Enfants au regard larmoyant
    Aux grands yeux dont on a éteint l’éclat
    Le triste rire des enfants battus résonne
    Leur peau couverte de bleu
    Leur souffrance et leur triste rire présent chaque jour
    Ne les lâchent pas d’une seconde
    Comme un ange rentrant dans l’enfer
    Comme un ogre attaquant un enfant
    Comme la force s’attaquant à la faiblesse
    Un geste tabou qu’ils reçoivent
    Tous ces anges maltraités par des monstres.


    Chloé Martins 3°4

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  32. La faim dans le monde

    Quant aux enfants qui ne peuvent pas manger.
    Ils ne mangent pas donc ne grandissent pas.
    Quant à tous ceux qui mangent et qui sont victimes de l’obésité.
    Entre ceux qui mangent, qui se séparent de leur
    Restes ; et ceux qui ne peuvent même pas s’alimenter.
    Les développés dans les fast-foods, les Pauvres dans les bennes à ordures.
    Manger 5 fruits et légumes par jour et pour certains loin de leur quotidien.
    Pour nous c’est 3 repas par jour mais eux ne mangent qu’une seule fois voire pas.
    Pendant que d’autres s’amusent d’autres pensent à leurs cause.
    Avoir faim et soif comme un plaisir asséchée.


    GARAYT Mathieu 3°4

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  33. Sans abri
    Voici la présentation de notre
    Amie. Lui qui partage, donne, offre.
    Alors qu’il n’a rien a part la santé et encore.
    Il n’habite pas dans une villa, une maison, un appartement ni même une tente.
    Mais dans quelques bouts de carton.
    Il demande de l’aide mais personne ne lui en donne vraiment.
    On lui offre un repas par an pour noël tel une bouché de pain pour avoir bon conscience.
    Il préfère aider les autre plutôt que s’aider lui-même.
    Après cette hiver rude on le voit allongé dort il.
    Non il ne réspire plus et ne bouge plus il est M…

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  34. Quand j'entend tous ses coup de feu
    Quand je voi toute ses larmes coule
    Toute ces familles brise
    A cause d'une simple
    Chaque jour a attendre un simple petit mots
    que tous va bien
    elle esper quil reviendra
    Toute cette souffrance
    Des soldat comme des chiens en cage ,prissoniers,sans aucune liberte
    desorme plus rien ne compte pour eux
    Il suffit de tirer


    Alisea le maner

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  35. Tous le monde est égaux, et pourtant ?
    Tous le monde ne l'est pas.
    Tous le monde a les mêmes droits, et pourtant ?
    Tous le monde ne les respecte pas.
    Ne sommes-nous pas tous les mêmes ? Des humains.
    Et pourtant si unique comme si différent,
    en même temps.
    Un milliard de personnes soufre de famine
    pendant qu'Un milliard d'autres rient en famille.

    Caillet-Rousset Alizé 3°4

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  36. Il te tombe dessus sans même prévenir,
    Il t’a pris pour cible, toujours près pour te faire tomber.
    Te lançant des coups de dents, jusqu’à atteindre ton sang.
    Te vidant de ton énergie et de ta joie de vivre.

    Pourtant il faut se battre et se relever sans s’arrêter.

    Le tremblement venant d’un corps trop sucré,
    comme l’effet du venin dans le sang.
    Le liquide retirant à ce corps le sucre trop important,
    pour te maintenir en vie, pendant que le sucre trop élevé,
    veut te faire mourir et t’emmener à la mort.

    Anaïs Bonnet 3°4

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  37. Le Mendiant

    Un pauvre homme passait dans le givre et le vent.
    Je cognai sur ma vitre ; il s'arrêta devant
    Ma porte, que j'ouvris d'une façon civile.
    Les ânes revenaient du marché de la ville,
    Portant les paysans accroupis sur leurs bâts.
    C'était le vieux qui vit dans une niche au bas
    De la montée, et rêve, attendant, solitaire,
    Un rayon du ciel triste, un liard de la terre,
    Tendant les mains pour l'homme et les joignant pour Dieu.
    Je lui criai : « Venez vous réchauffer un peu.
    Comment vous nommez-vous ? » Il me dit : « Je me nomme
    Le pauvre. » Je lui pris la main : « Entrez, brave homme. »
    Et je lui fis donner une jatte de lait.
    Le vieillard grelottait de froid ; il me parlait,
    Et je lui répondais, pensif et sans l'entendre.
    « Vos habits sont mouillés », dis-je, « il faut les étendre,
    Devant la cheminée. » Il s'approcha du feu.
    Son manteau, tout mangé des vers, et jadis bleu,
    É talé largement sur la chaude fournaise,
    Piqué de mille trous par la lueur de braise,
    Couvrait l'âtre, et semblait un ciel noir étoilé.
    Et, pendant qu'il séchait ce haillon désolé
    D'où ruisselait la pluie et l'eau des fondrières,
    Je songeais que cet homme était plein de prières,
    Et je regardais, sourd à ce que nous disions,
    Sa bure où je voyais des constellations.

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  38. En cornichon

    Une poitrine en vinaigre,
    Dans du vinaigre non aigre,
    Au bout de quatre saisons,
    C’est encore nichon.

    En auriez-vous douté ?
    Cette cucurbitacée
    Est un bon condiment
    Car piquant en mangeant.

    En vert, de plusieurs tons.
    Endroit d’accompagnements.
    Ensemble dans les cuissons.

    En concombre, des nations
    Font cultures, le mangeant.
    Texte d’alimentation ?

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Attention, pas de bêtises dans les messages.